Les élèves de l'école Garnier combinent visite de l'exposition "La peinture à la croisée du tissu" retrospective de Chantal Morillon à l'espace Jean de Joigny permettant de découvrir le travail sur la soie, le tissu, la répétition des formes et les motifs géométriques. Dans un deuxième temps, les élèves rencontrent Patrice Ferrasse, un artiste proche de Chantal Morillon afin de proposer le développement d'un travail plastique en classe.
A l’occasion de la résidence de recherche et de création autour de la “Cartographie du territoire”, la ville de Joigny reçoit l’artiste plasticienne Anna L’Hospital.
Elle se plonge dans l’histoire de la ville et relève la trace des époques présentes dans ses édifices historiques.
Elle porte une attention sensible aux cicatrices de la ville que sont ses fenêtres condamnées, ses meurtrières, autant de traces du passage du temps et de ces éléments aujourd’hui oubliés. Pour la première fois, Anna L'Hospital allie ce travail d’empreinte par frottages à la technique du
transfert photographique qui lui permet de retranscrire la ville et les différentes temporalités
qui la traversent.
L’exposition de restitution de ce travail réalisé pendant 6 semaines de résidence est à découvrir à l’Espace Jean de Joigny du samedi 9 novembre au dimanche 22 décembre.
Le vernissage aura lieu le vendredi 8 novembre à 18h30.
En classe, les élèves suivent les conseils de l’artiste plasticien Patrice Ferrasse : peindre sur du tissu, sur un draps à la manière de Chantal Morillon. Laisser place à notre imagination, jouer avec les formes géométriques et sur les répétitions… créer un nouveau langage !
Les élèves de l’école Garnier de Joigny découvrent l’exposition La peinture à la croisée du tissu, rétrospective de Chantal Morillon.
Cette rétrospective intitulée La peinture à la croisée du tissu retrace un cheminement artistique des plus diversifiés : la délicatesse de la soie rencontre le geste pictural alors que l’élégance de la haute couture occasionne une métaphore graphique. Entre les couleurs lumineuses, les lignes géométriques et les motifs répétés, Chantal Morillon invite le spectateur dans une traversée singulière.
